Comores : les risques d'une crise politique
Aux Comores, l'armée a repris le contrôle de la capitale de l'île d'Anjouan. Les affrontements de cette semaine ont fait trois morts et au moins six personnes ont été grièvement blessées. Les autorités accusent le parti Juwa d'être à l'origine des violences tandis que les opposants accusent le président Azali Assoumani de se comporter en dictateur "d'une république bananière". Le climat politique s'est dégradé depuis le référendum constitutionnel du 30 juillet dernier. Où en sommes-nous ?
{...} qu'on interroge et qu'on remue jusqu'au fond les Archives de France, et, de quelque façon que la fouille soit faite, pourvu que ce soit de bonne foi, la même histoire incorruptible en sortira. Victor Hugo