La bataille de Fessenheim - L'édito de Christophe Barbier



Nicolas Sarkozy s'est rendu aujourd'hui à Fessenheim. Allié avec les syndicats sur ce dossier, il s'oppose à sa fermeture au nom de l'emploi. Deux mille postes seraient menacés selon lui. Bien entendu, Fessenheim ne fermera pas avant 2017, année de l'élection présidentielle, ce sont les électeurs. L'édito de Christophe Barbier.
{...} qu'on interroge et qu'on remue jusqu'au fond les Archives de France, et, de quelque façon que la fouille soit faite, pourvu que ce soit de bonne foi, la même histoire incorruptible en sortira. Victor Hugo